fmd_166983 - Essai de 10 francs Roland Garros, tranche B 1988 Pessac F.372/1
Not available.
Item sold on our e-shop (2014)
Price : 65.00 €
Item sold on our e-shop (2014)
Price : 65.00 €
Type : Essai de 10 francs Roland Garros, tranche B
Date: 1988
Mint name / Town : Pessac
Quantity minted : inclus
Metal : copper nickel
Diameter : 26 mm
Orientation dies : 6 h.
Weight : 10 g.
Edge : en creux. (branche de laurier) LIBERTE (branche d’olivier) EGALITE (épi) FRATERNITE
Coments on the condition:
L’exemplaire ne présente pas de défauts apparents visibles sous son plastique hors ce que nous signalons par ailleurs concernant ce type
Catalogue references :
Obverse
Obverse legend : 1888 - 1918 / ROLAND GARROS.
Obverse description : Buste de Roland Garros à coté de son avion, une Demoiselle 20 ; signé H. DUETTHE et rosette de l'Atelier de Gravure sous l'avion.
Reverse
Reverse legend : (DIFFÉRENT) 1988 (DIFFÉRENT) / RÉPUBLIQUE FRANÇAISE // 10 F.
Reverse description : Littoral atlantique de la France se déployant en cigogne très stylisée.
Commentary
L’analyse des trois exemplaires de cet essai en notre possession montre plusieurs détails qui indiquent des traitements plus que curieux à la fabrication. Les trois exemplaires ont une qualité de surface très bizarre avec des coups atténués dans les champs, adoucis, et on a franchement l’impression que les flans, avant la frappe, furent violemment choqués à de nombreuses reprises, puis repolis, puis frappés. En effet, non seulement aucune des traces de coups ne se trouve sur les zones en relief mais seulement dans les champs (ils étaient donc là avant la frappe et ont été écrasés par les reliefs de celle-ci ) mais les traces visibles sont mates et atténuées, comme si la surface avait été repolie.
Comment est-ce possible ? Nous l’ignorons. Tout se passe comme si les flans avaient été stockés en sacs, secoués violemment et à de nombreuses reprises, puis repolis maladroitement.
Par ailleurs, sur certains exemplaires, les coins utilisés étaient rayés par un polissage mal réussi. Ces rayures se distinguent facilement tant des hairlines comme des rayures de la pièces car ils passent sous les détails de gravure sans interruption : ceci est parfaitement logique puisque le polissage du coin se fait sur le plat du coin, dont les détails sont en creux, sans que rien ne viennent arrêter ou interrompre l’abrasion.
L’un des trois exemplaires ne porte pas ces rayures de coin et semble avoir été repoli, probablement dans le but de les supprimer du coin.
Cet exemplaire est sous plastique scellé de la Monnaie de Paris.
Comment est-ce possible ? Nous l’ignorons. Tout se passe comme si les flans avaient été stockés en sacs, secoués violemment et à de nombreuses reprises, puis repolis maladroitement.
Par ailleurs, sur certains exemplaires, les coins utilisés étaient rayés par un polissage mal réussi. Ces rayures se distinguent facilement tant des hairlines comme des rayures de la pièces car ils passent sous les détails de gravure sans interruption : ceci est parfaitement logique puisque le polissage du coin se fait sur le plat du coin, dont les détails sont en creux, sans que rien ne viennent arrêter ou interrompre l’abrasion.
L’un des trois exemplaires ne porte pas ces rayures de coin et semble avoir été repoli, probablement dans le but de les supprimer du coin.
Cet exemplaire est sous plastique scellé de la Monnaie de Paris.