fme_1029292 - SECOND EMPIRE Médaille, L’archevêque Sibour
20.00 €(Approx. 23.20$ | 17.20£)
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Type : Médaille, L’archevêque Sibour
Date: 1857
Mint name / Town : 75 - Paris
Metal : silver plated brass
Diameter : 27,50 mm
Orientation dies : 12 h.
Weight : 3,92 g.
Edge : lisse
Puncheon : sans poinçon
Coments on the condition:
Patine hétérogène avec du brillant de frappe et de l’oxydation. Présence de quelques rayures
Obverse
Obverse legend : M. DOM AUGUSTE SIBOUR ARCHQUE DE PARIS.
Obverse description : Buste à droit de l’archevêque tenant une crosse et pointant deux doigts .
Reverse
Reverse legend : FRAPPE MORTELLEMENT // LE / 3 JANVIER 1857 / DANS L’ÉGLISE / DE ST ETIENNE DU MONT / FÊTE PATRONALE / DE STE. GENEVIEVE / .(FLEUR). // MALEDIMUR ET BENEDICIMUS (S. PAUL AUX CORINTH. 4. 13).
Reverse description : Légende circulaire et en six lignes horizontales.
Commentary
Médaille avec un diamètre sans bélière de 23,50 mm
Marie Dominique Auguste Sibour, né à Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), le 4 août 1792, mort assassiné à Paris, le 3 janvier 1857, est un ecclésiastique français, évêque du diocèse de Digne (1840-1848) puis archevêque de Paris (1848-1857).
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..
Medal with a diameter without bail of 23.50 mm Marie Dominique Auguste Sibour, born in Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), on August 4, 1792, died assassinated in Paris, on January 3, 1857, is a French clergyman, bishop of the diocese of Digne (1840-1848) then archbishop of Paris (1848-1857). He was stabbed in the middle of a church, at the end of a ceremony on January 3, 1857 by Jean-Louis Verger, former priest, visibly unbalanced, and already sanctioned by the Church. In addition to having had several problems with the religious authorities (before this affair) which earned him a series of sanctions, Mr. Verger had already had run-ins with the law for several cases of theft or scandals on the public highway. At a previous trial, a doctor had declared, \\\"He is completely lucid, but he is a dangerous man.\\\" His trial, which ended with his conviction and execution on January 30, 1857, gave rise to further scandals on the part of the defendant.
Marie Dominique Auguste Sibour, né à Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), le 4 août 1792, mort assassiné à Paris, le 3 janvier 1857, est un ecclésiastique français, évêque du diocèse de Digne (1840-1848) puis archevêque de Paris (1848-1857).
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..
Medal with a diameter without bail of 23.50 mm Marie Dominique Auguste Sibour, born in Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), on August 4, 1792, died assassinated in Paris, on January 3, 1857, is a French clergyman, bishop of the diocese of Digne (1840-1848) then archbishop of Paris (1848-1857). He was stabbed in the middle of a church, at the end of a ceremony on January 3, 1857 by Jean-Louis Verger, former priest, visibly unbalanced, and already sanctioned by the Church. In addition to having had several problems with the religious authorities (before this affair) which earned him a series of sanctions, Mr. Verger had already had run-ins with the law for several cases of theft or scandals on the public highway. At a previous trial, a doctor had declared, \\\"He is completely lucid, but he is a dangerous man.\\\" His trial, which ended with his conviction and execution on January 30, 1857, gave rise to further scandals on the part of the defendant.