E-auction 107-56861 - bpv_305576 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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| Estimate : | 120 € |
| Price : | 82 € |
| Maximum bid : | 100 € |
| End of the sale : | 04 May 2015 16:00:30 |
| bidders : | 11 bidders |
Type : Tétradrachme syro-phénicien
Date: 218-220
Mint name / Town : Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metal : billon
Diameter : 24,00 mm
Orientation dies : 12 h.
Weight : 13,04 g.
Rarity : R3
Coments on the condition:
Minime usure de circulation mais flan très étroit quoique bien centré
Catalogue references :
Predigree :
Cet exemplaire, qui provient d’une trouvaille apparue à Londres en 1995 sur les plateaux de la maison Baldwin puis sur ceux de Randy Weir à Toronto, est issu de la collection Robert Gait et est le 0257B_004 de la base TSP
Obverse
Obverse description : Elagabal tête laurée à droite, un ruban de la couronne de lauriers posé sur l’épaule, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Obverse legend : AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Obverse translation : Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Reverse
Reverse description : Aigle au style de Laodicée nettement debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
Reverse legend : DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Reverse translation : (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Commentary
La référence Prieur 257B a été créée pour différencier les tétradrachmes de ce type mais avec l’un des rubans sur l’épaule de l’empereur.
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cinq exemplaires sont répertoriés dont aucun en musée.
The Prieur 257B reference was created to differentiate tetradrachms of this type but with one of the ribbons on the emperor's shoulder.
Although classified for convenience in Antioch, this type has been attributed to the engraver of Laodicea in Seleucia and Pieria, by identity of style of the reverse with the strikes of this workshop under Caracalla and Macrinus.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: no portrait is compatible with a Laodicean style such as we see it under Caracalla or Macrinus; on the other hand, this series of “Laodicean” reverses is well supplied. We can therefore think that this engraver was exclusively responsible for engraving reverses while others, in the same workshop, engraved rights.
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, five examples are listed, none of which are in a museum.
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cinq exemplaires sont répertoriés dont aucun en musée.
The Prieur 257B reference was created to differentiate tetradrachms of this type but with one of the ribbons on the emperor's shoulder.
Although classified for convenience in Antioch, this type has been attributed to the engraver of Laodicea in Seleucia and Pieria, by identity of style of the reverse with the strikes of this workshop under Caracalla and Macrinus.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: no portrait is compatible with a Laodicean style such as we see it under Caracalla or Macrinus; on the other hand, this series of “Laodicean” reverses is well supplied. We can therefore think that this engraver was exclusively responsible for engraving reverses while others, in the same workshop, engraved rights.
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, five examples are listed, none of which are in a museum.







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