E-auction 321-238289 - fme_446707 - ACADEMIES AND LEARNED SOCIETIES Médaille de l’Académie de Besançon
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Estimate : | 75 € |
Price : | 26 € |
Maximum bid : | 51 € |
End of the sale : | 10 June 2019 18:07:30 |
bidders : | 5 bidders |
Type : Médaille de l’Académie de Besançon
Date: c.1834
Mint name / Town : 25 - Besançon
Metal : bronze
Diameter : 55,3 mm
Orientation dies : 12 h.
Weight : 70,2 g.
Edge : lisse
Slab

GENI :
Coments on the condition:
Aspect poreux. Présence de concrétions
Obverse
Obverse legend : ACAD. DES SCIENCES. ARTS. BELLES LETTRES. DE BESANÇON.
Obverse description : Buste lauré à gauche, traité à l’Antique, avec un lyre en second plan.
Reverse
Reverse legend : PRIX DÉCERNÉ EN SÉANCE - PUBLIQUE LE 24 AOUT 1800 // MAIRE. F. / BESANÇON 1834.
Reverse description : Couronne de lauriers.
Commentary
L'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté est une société savante, fondée en 1752 à Besançon.
En juin 1752, les lettres patentes royales signées par Louis XV instaurent une « Académie des sciences, belles-lettres et arts en ville de Besançon » et accordent ainsi à la capitale comtoise une distinction analogue à ses voisines Nancy et Dijon.
L'éclat de cette Académie est marqué par le couronnement qu'elle accorde aux travaux de Antoine Parmentier en 1772.
L'Académie est supprimée en 1793, mais elle se reconstitue à partir de 1804 à l'initiative du préfet et du recteur en s'adaptant aux exigences nouvelles.
Elle décerna pendant longtemps une pension, issue d'un legs de Jean Baptiste Antoine Suard : Pierre-Joseph Proudhon en fut l'un des bénéficiaires..
En juin 1752, les lettres patentes royales signées par Louis XV instaurent une « Académie des sciences, belles-lettres et arts en ville de Besançon » et accordent ainsi à la capitale comtoise une distinction analogue à ses voisines Nancy et Dijon.
L'éclat de cette Académie est marqué par le couronnement qu'elle accorde aux travaux de Antoine Parmentier en 1772.
L'Académie est supprimée en 1793, mais elle se reconstitue à partir de 1804 à l'initiative du préfet et du recteur en s'adaptant aux exigences nouvelles.
Elle décerna pendant longtemps une pension, issue d'un legs de Jean Baptiste Antoine Suard : Pierre-Joseph Proudhon en fut l'un des bénéficiaires..