fjt_509137 - BURGUNDY - TOWNS AND GENTRY Jeton AR 30, P. Grassin, seigneur de Mormant n.d.
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Item sold on our e-shop (2018)
Price : 150.00 €
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Type : Jeton AR 30, P. Grassin, seigneur de Mormant
Date: (1707-1713)
Date: n.d.
Metal : brass
Diameter : 30 mm
Orientation dies : 6 h.
Weight : 9,78 g.
Edge : Lisse
Rarity : R1
Coments on the condition:
Patine gris clair
Catalogue references :
Obverse
Obverse legend : P. GRASSIN. ECER. - S. DE. MORMANT..
Obverse description : Tête à droite, au-dessous signature N. R..
Reverse
Reverse legend : CHARLOTTE. - DVPUY. DE. DIGNY.
Reverse description : Buste féminin de Charlotte Dupuy à gauche drapée avec une coiffure élaborée, au-dessous signature N. R..
Commentary
La tranche est lisse, manque au Feuardent et au Corre, il s’agit peut-être d’une refrappe ?
Le seul élément de datation que nous ayons pour ce jeton est la signature du graveur, en l'occurrence N. R. pour Norbert Röettiers qui est graveur général à partir de 1703. Suivant les auteurs, ce jeton est daté de 1707 (Florange) à 1713 (Feuardent). Pierre Grassin est baron d'Arcis et Dieuville-sur-Aube, seigneur de Mormant, directeur général des Monnaies de France. Sa famille aurait été originaire de Sens d'après J. Florange. Sa femme est Charlotte Dupuy d'Igny
Les jetons avec bustes de personnes autres que les membres de la famille royale sont évidement de toute rareté, le coût de gravure des coins étant à l’époque, comme aujourd’hui, prohibitif.
Le seul élément de datation que nous ayons pour ce jeton est la signature du graveur, en l'occurrence N. R. pour Norbert Röettiers qui est graveur général à partir de 1703. Suivant les auteurs, ce jeton est daté de 1707 (Florange) à 1713 (Feuardent). Pierre Grassin est baron d'Arcis et Dieuville-sur-Aube, seigneur de Mormant, directeur général des Monnaies de France. Sa famille aurait été originaire de Sens d'après J. Florange. Sa femme est Charlotte Dupuy d'Igny
Les jetons avec bustes de personnes autres que les membres de la famille royale sont évidement de toute rareté, le coût de gravure des coins étant à l’époque, comme aujourd’hui, prohibitif.